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Pédaler diminue les risques de crise cardiaque et de cancer


Même si vous ne vous sentez pas le courage de faire régulièrement du sport, vous pouvez pratiquer le vélo tous les jours par exemple pour vous rendre au travail. Ce mode de transport pour aller travailler permettrait de diviser par deux la probabilité de développer des maladies cardiovasculaires ou des cancers. 
En effet, une équipe de chercheurs de l’Université de Glasgow ont étudié les effets du Vélo sur la santé et les résultats ont été publiés dans le British Medical Journal.
L’étude a été réalisée sur plus de 250.000 personnes, la plupart habitant dans des villes.

Chacune a été interrogée sur son mode de déplacement pour se rendre au travail : marche, vélo, voiture ou transports publics et sur ses habitudes hygièno-diététiques.

Sur ces 250.000 personnes, 2.430 personnes sont décédées dans les cinq années suivant le début de l’étude : 

496 des suites d’ une maladie cardiovasculaire et 1.126 des suites d’un cancer.

En étudiant les différents éléments des patients incriminés et la cause de leur décès, les chercheurs de l’étude ont conclu que, le fait de se rendre tous les jours au travail à vélo permettait de réduire de 41% le risque de mourir prématurément. 
Tous les éléments ont été analysés tels que l’âge des participants, leur genre, leur indice de masse corporelle (IMC), leur consommation de tabac ou d’alcool, leur alimentation , leur comportement (sédentaire ou non), etc…

Si pédaler pour se rendre au travail est bénéfique, s’y rendre en marchant est également bénéfique pour le cœur, puisque le risque de mourir d’un problème cardiaque diminue de 36% par rapport aux personnes considérées comme inactives (se déplaçant en voiture ou en transports en commun). 
Par contre, aucune conclusion positive n’a pu être faite sur le bénéfice de la marche sur le cancer par rapport au pédalage. 

Cependant la marche étant un exercice de plus faible intensité que le vélo les bénéfices sont moins nets.

Le Docteur Carlos Celis-Morales, auteur principal de l’étude interviewé par Le Figaro a déclaré :

«La marche ne procure pas autant de bénéfice que le vélo car en général ce n’est pas la même distance qui est parcourue. Dans une semaine une personne qui va au travail à vélo parcourt en moyenne 50 kilomètres contre 10 kilomètres pour celles qui se déplacent à pied».

Docteur DENJEAN qui aime le Velo mais reste très prudente en ville….


Référence: D’après un article d’Aurélie Franc Publié le 25/04/2017 dans Le Figaro

Le Sénat interdit les cabines de bronzage


En France, le nombre de mélanomes, cancer cutané le plus grave qui a triplé entre 1980 et 2005 : 9.780 nouveaux cas et 1.620 décès ont été recensés par les réseaux de l’Institut National de Veille Sanitaire.
Le Syndicat des Dermatologues a demandé dès janvier 2015 cette interdiction, mettant en avant les dangers de l’exposition aux UV artificiels.

Ces cabines à UV sont selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) l’une des principales causes de l’importante augmentation des cancers cutanés.

L’OMS démontre une augmentation de 75% du risque de mélanome pour les personnes ayant commencé les UV avant 30 ans.

Et on estime que, chaque année, 350 cas de mélanome liés aux cabines UV avec 76 décès qui pourraient donc en être la conséquence.

L’Institut National de Veille Sanitaire déclare que si rien ne limite l’accès aux cabines à UV artificiels on pourrait déplorer de 500 à 2.000 décès d’ici 30 ans.

Ainsi, le mélanome se place au 9ème rang des cancers les plus fréquents.
Le Sénat a voté dans la nuit du mardi 15 septembre au mercredi 16 septembre 2015 l’interdiction des cabines de bronzage lors de l’examen du projet de loi santé, et ce dès 2017 et contre l’avis du gouvernement.
Le sénateur Jean-François Longeot a insisté sur « Le rôle nocif de ces cabines, dans l’apparition des cancers de la peau, est scientifiquement établi par le Centre International de Recherche sur le Cancer », et sur le fait que « les cancers de la peau ont plus que doublé en dix ans ».

Malheureusement cette interdiction a très peu de chances d’être confirmée lors du retour du texte devant l’Assemblée Nationale.

Durant l’examen de la loi, Marisol Touraine n’a pas vu l’intérêt d’interdire les cabines à UV malgré leur danger prouvé, sauf pour les mineurs.
La ministre estime que le projet de loi interdisant «les forfaits illimités, la mise à disposition des cabines à domicile, leur vente à des particuliers» et en favorisant «la formation des professionnels» serait suffisant.

Pourtant, la législation à la fin de l’année 2013 a tenté d’encadrer l’activité des centres qui sont interdits de publicité et obligés de mettre en garde les populations à risque et pourtant une enquête du magazine 60 millions de consommateurs a révélé que 80% des clientes dites à risque avaient pu faire des UV en cabine sans mise en garde ou précautions.
Bien entendu, le Syndicat national des professionnels du bronzage en cabine (SNPBC) «s’insurge de l’adoption» de cet amendement et accuse le Sénat de «vouloir décréter la mort du secteur» employant 22.000 personnes.

Le SNPBC dénonce aussi la fausse raison avancée sur les risques de santé publique et affirme que cela vise à favoriser les médecins spécialisés dans les actes esthétiques qui seraient alors «seuls à proposer des prestations de bronzage sous couvert d’actes thérapeutiques».

Alors là je m’insurge car lorsqu’un médecin propose des traitements en cabine, c’est dans le cadre d’une maladie dermatologique particulière tel le vitiligo, le psoriasis, certains eczémas, etc…
Et toujours sur un temps très court et encadré par un professionnel de santé.

Docteur DENJEAN qui se demande ce qui compte le plus : la vie humaine ou le profit ?…

Manger des plats épicés réduirait le risque de décès


Cette étude va réjouir les amateurs ou amatrices de piment :
En effet, il semble de plus en plus avéré que les personnes qui mangent épicé pourraient vivre plus longtemps que ceux qui ne mangent pas épicé. 

C’est ce que révèle une étude chinoise publiée dans la revue « The BMJ » affirmant un lien entre la consommation régulière de nourriture épicée et une réduction du risque de décès.

L’académie chinoise des sciences médicales de Pékin a demandé à des scientifiques d’étudier l’impact du piment pris dans la nourriture et ces derniers ont analysé les données de 487375 personnes âgées de 30 à 79 ans et recrutés entre 2004 et 2008.

Ces personnes ont été suivies pendant une moyenne de 7,2 ans.

On a demandé aux personnes participant à cette étude de remplir un questionnaire complet sur leur état de santé général, leurs caractéristiques physiques, leurs maladies et aussi leurs habitudes alimentaires.
Après analyse de toutes les données, les chercheurs ont constaté que les personnes qui ont consommé de la nourriture épicée une à deux fois par semaine avaient un risque de décès réduit de 10% par rapport à ceux qui avaient consommé de la nourriture épicée moins d’une fois par semaine. 

Les personnes qui ont consommé de la nourriture épicée 3 à 5 jours par semaine, voire 6 à 7 jours par semaine, avaient un risque de décès réduit de 14%.

Ces résultats étaient valables tant pour les femmes que pour les hommes. 
Cependant le résultat était plus prononcé chez ceux ne consommant pas d’alcool. 

Autre remarque, le fait de consommer des plats épicés apporte en particulier un plus faible risque de décès par cancer, maladie cardiovasculaire ou diabète.
Les chercheurs ont expliqué ce résultat par la présence dans le piment de capsaïcine, de vitamine C et d’autres nutriments. 
Rappelons qu’il y a eu des études antérieures ayant prouvé des effets antioxydants, anti-inflammatoires, anticancéreux et anti-obésité de la capsaïcine.

Le professeur Lu Qi, qui a dirigé les travaux déclare que « La nourriture épicée ou ses composés actifs a été liée à une réduction de l’inflammation, de l’excès de graisse corporelle et à une amélioration des profils lipidiques ». 
Il ajoute « En plus de cela, les aliments épicés pourraient aussi agir sur les bactéries intestinales qui ont été liées à diverses maladies chroniques comme le diabète, les maladies cardiovasculaires et l’obésité ».

En l’état actuel des recherches, l’effet bénéfique de la nourriture épicée serait une hypothèse à approfondir plus qu’une conclusion définitive car il faut prendre en compte d’autres habitudes alimentaires et sur une possible interaction avec les boissons comme le thé, consommé en quantité plus importante par ceux qui mangent plus de piment.
C’est du moins l’avis du Docteur Nita Forouhi, spécialiste en nutrition et d’épidémiologie à l’Université de Cambridge, « On ne sait pas si les corrélations observées sont le résultat direct de la consommation de piment ou bien découlent simplement d’autres éléments positifs dans l’alimentation qui n’ont pas été mesurés ».
« De nouvelles études sont nécessaires pour établir si la consommation d’aliments épicés peut améliorer la santé et réduire directement la mortalité ou bien si c’est la marque d’autres habitudes alimentaires et styles de vie ».

De toute façon, l’équipe de chercheurs chinois désire poursuivre les travaux pour confirmer ses résultats.

Docteur DENJEAN qui aime la cuisine épicée et le thé vert et qui va surtout continuer dans cette voie……

  

Le tabac vieillit la peau et raccourcit la vie


Nous savions déjà malheureusement tous que fumer est mauvais pour la peau. Ceci vient d’être corroboré dans une étude réalisée par une équipe américaine de l’université Case Western Reserve et publiée dans la revue médicale Plastic and Reconstructive Surgery.
« Nous espérons que le fait de souligner à nouveau les méfaits du tabac pourra dissuader des fumeurs en puissance, sachant combien cela peut endommager leur peau », déclare le docteur Bahman Guyuron, principal auteur de ces recherches.

Cette étude menée sur des jumeaux identiques confirme donc une fois de plus les effets délétères de la cigarette sur la peau.

L’étude a été réalisée sur des photos de 79 paires de jumeaux identiques âgés d’environ 40 ans, majoritairement des femmes.
Trois personnes étaient chargées d’examiner et de juger les photos.
Pour que l’étude soit impartiale, ces 3 personnes ne savaient pas lequel des jumeaux était dépendant à la cigarette.
Donc après étude des photos, elles ont bien choisi le fumeur comme semblant le plus âgé.
Les auteurs de cette étude expliquent ces résultats par l’observation suivante :
« Les jumeaux ayant fumé le plus longtemps ont des poches sous les yeux plus prononcées et des rides autour des lèvres nettement plus marquées ».

D’autres facteurs liés au vieillissement de la peau comme le manque de protection solaire, la consommation d’alcool et le stress ont été pris en compte par les experts, mais par contre pas le nombre de cigarettes fumées chaque jour.

Ceci s’explique par le fait que le tabac accélère la dégradation du collagène et des fibres élastiques de notre peau et diminue l’oxygénation de nos cellules donnant une peau amincie, ce teint gris jaune typique de la peau des fumeurs voire même un teint couperosé.
Les doigts, les ongles et les dents sont aussi souvent jaunis, sans oublier un état bucco dentaire déplorable au fil du temps.

La dégradation du collagène et l’atteinte de la micro vascularisation non seulement donne un aspect précocement vieilli à la peau mais de plus interfère sur la qualité de la cicatrisation en cas de blessures ou d’opérations chirurgicales.

Il faut rappeler qu’il y a des récepteurs cutanés nicotiniques au niveau des keratinocytes, des fibroblastes (cellules qui fabriquent le collagène entre autres) et des vaisseaux.

Les dégradations sont de plus cumulatives, donc arrêter le tabac stoppera cette escalade mais les dégâts sont souvent non réversibles.

Bien sur, il peut y avoir des effets secondaires plus graves comme des insuffisances respiratoires, des atteintes cardiovasculaires avec hypertension voire évolution vers l’infarctus, des cancers de la langue, de la bouche, des sinus ou de la gorge, des cancers du poumon mais aussi cancer du rein et surtout de la vessie.
La cigarette contient en effet presque 4000 substances chimiques dont 40 sont cancérigènes et elle est donc responsable de nombreuses maladies pour le fumeur et… pour son entourage de par le tabagisme passif qu’il induit.

La cigarette et sa fumée rejetées dans l’environnement sont un vrai fléau, non seulement pour les non-fumeurs qui respirent cette fumée sans avoir rien demandé, mais aussi et malheureusement pour la nature.

Il faut savoir qu’un mégot de cigarettes avec filtre met entre 1 à 3 ans pour disparaître complètement dans la nature, si le mégot est sans filtre de 3 à 4 mois, le paquet jeté par terre met à peu près 6 mois et si par malheur vous jetez votre briquet dans la nature, il met environ 100 ans à se décomposer.
Les 4000 substances chimiques des cigarettes se répandent dans les sols et l’eau au quotidien, avec le danger que cela représente pour les animaux qui peuvent les ingérer.

Une étude faite au Canada a montré que l’on fume environ 11 milliards de cigarettes par jour sur notre planète terre. Tout cela représente combien de tonnes de produits chimiques qui sont rejetés dans l’air par la fumée ?

Enfin, le tabac nécessite du bois pour sa préparation et son séchage et qui est quant à lui responsable de 5% de la déforestation.

Alors après tout ceci pensez à envisager l’arrêt complet du tabac car il est prouvé que fumer 4 à 5 cigarettes par jour pendant des années peut se révéler tout aussi nocif.

Docteur DENJEAN qui n’a heureusement jamais fumé et qui ne supporte surtout pas l’odeur du tabac….

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Une prise de sang pour détecter les cancers


Lors de nombreux types de cancers, la méthode la plus utilisée pour détecter ou contrôler la tumeur est la recherche et le dosage de la concentration sanguine des marqueurs tumoraux.
Les marqueurs tumoraux sont des protéines produites par les tumeurs et elle traduit l’importance du nombre des cellules cancéreuses présentes dans la tumeur ou même le nombre de cellules cancéreuses disséminées lors des métastases.

Le dosage sanguin des marqueurs tumoraux est une bonne technique suffisamment sensible pour détecter la présence de tumeurs même petites.

Le dosage des marqueurs permet en outre de suivre l’évolution de la tumeur au cours du traitement.

Bien entendu, il existe de nombreux examens médicaux pour détecter et surveiller une tumeur et le plus souvent ils sont choisis en fonction de la tumeur suspectée. On peut prescrire un bilan hépatique, rénal, pancréatique, des prises de sang, des radiographies, etc…
Puis enfin une biopsie pour prélever des cellules au niveau de l’organe suspect d’être cancéreux.

Bientôt une simple prise de sang permettra de détecter rapidement une tumeur cancéreuse.

En effet, le Professeur Yvon Cayre, Professeur d’hématologie à l’université Pierre et Marie Curie (Paris), a créé un tube filtrant le sang permettant de détecter les cellules cancéreuses.

Effectivement avec cette simple prise de sang on prélève des cellules sanguines du patient, puis ces cellules sont ensuite filtrées grâce à un tube blanc qui ne porte pas encore de non officiel et vise à remplacer l’étape incontournable, pour le moment, de la biopsie.

Selon le Professeur Yvon Caire, les cellules cancéreuses étant «plus grandes que les autres» elles restent à la surface du tube tandis que les cellules normales, saines passent à travers le filtre.

Ensuite, les cellules pathologiques n’ayant pas passé le filtre seront analysées.

Il devrait remplacer à terme 60% des biopsies et certes permettre des économies substantielles car le prix d’un tube ne devrait pas dépasser 200€ mais surtout je pense permettre une meilleure détection des cancers et sauver un bon nombre de vies.

Les premiers patients pourraient bénéficier de cette nouvelle technique dès le début de l’année prochaine.

Le pôle européen de cancérologie Gustave Roussy de Villejuif (Val-de-Marne) a décidé d’utiliser ce nouveau moyen diagnostic sur ses patients dès le début 2014.

Cependant, la biopsie ne va pas complètement disparaître car pour certains types de cancer, cet examen sera toujours utile et indispensable, notamment lorsque les cellules tumorales sont rares.

Autre application de cette méthode de filtrage, ce test pourrait aussi déceler des anomalies fœtales, particulièrement pour dépister la trisomie 21 pendant la grossesse, et remplacer certaines amniocentèses.

Dr DENJEAN qui est toujours favorable aux perspectives de soulagement des patients face à l’angoisse de suspicion de cancer, quelqu’il soit.

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Adopter le Chou Kale pour une bonne santé?


Ce chou vert très tendance et bon pour la santé nous vient des Etats-Unis et est encore bien difficile à trouver en France.
Le Kale était déjà bien connu du temps des grecs et des romains dans l’antiquité, puis il devint le légume le plus populaire en Europe à l’époque du moyen âge, pour arriver aux États Unis dans les années 1600.
Il est très tendance aux USA et encore plus dans les grandes villes comme New York, ville adepte du « Healthy food » où c’est LE produit bio à la mode.
On le retrouve sur les marchés, dans les grandes surfaces.
Il est préparé cru ou cuit. Ses ventes ont augmenté de 40% sur la seule année 2012. Un légume détox qui devient un véritable phénomène.

On dit que Barack Obama en serait friand…

Impossible à trouver en France, on commence à en trouver grâce au projet « Le kale project » mis en place par Kirsten Beddard, une américaine et lancé en avril 2011, « pour amener à Paris le légume vert le plus sain » d’après elle ».

Elle a même déclaré :
« J’ai trouvé ça trop bizarre que ce légume que je mangeais tout le temps aux États Unis n’existe pas en France. Personne ne savait même ce que c’était. Or pour moi, c’était une passion. »

Il faut rappeler qu’en 2008, le journal scientifique Live Science l’a classé en 6ème position dans la liste des « sept aliments de survivants » qui pourraient nous suffire sur une île.
C’est le seul chou à ne pas pousser en pomme. Ses longues tiges sont longues et d’un vert prononcé.
On le nomme aussi en France, chou plume, chou à lapin, chou à vache, chou vert demi nain !
Il contient vitamines, fibres, minéraux et même des composés anti-cancer.
Il présente donc des qualités nutritionnelles remarquables.

Il est riche en fer (plus que le bœuf), en magnésium très riche en bêta carotène.
De même il est très riche en vitamine C et Il y a même plus de vitamines C dans 60 grammes de chou kale que dans une orange entière !
Ces 60 grammes représentent 134% de la quantité de vitamine C recommandée par jour.

Le légume a d’autres vertus : il est très riche en calcium, dans 100 grammes de kale, il y a 150mg de calcium, contre 125mg dans un verre de lait.
Il contient aussi du kaempférol qui possède des propriétés anticongestives et antioxydantes, avec donc une action anti arthritique.
Le kale contient aussi beaucoup de lutéine et de zéaxanthine, utiles pour la santé des yeux. Ce légume « miraculeux » pour certains est en plus pauvre en glucides (4% seulement) et très pauvre en calories.
De plus il contient du sulforaphane, connu pour ses vertus aidant à lutter contre le cancer.

Rappelons les conclusions d’une étude faite par des chercheurs d’une université à Baltimore :
« Les statistiques de plusieurs études épidémiologiques ont suggéré que les régimes riches en légumes crucifères, comme le brocoli, le chou et le kale, réduisent le risque de développer beaucoup de cancers, dont le cancer du sein. »

Alors, comment le consommer ?

Très simple, il s’accommode de plusieurs façons :
En salade cru ou à peine blanchi, cuit à la vapeur, assaisonné avec une simple huile d’olive ou cuisiné avec du bacon, des pommes de terre ou du fromage, en purée, en soupe et même en chips.

Alors, vivement que ce légume riche pour notre santé soit facile à trouver.

Docteur DENJEAN qui a introduit ce chou dans son alimentation depuis quelque temps …

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Les Pringles (et autres chips) contiendraient un produit cancérigène


Un ingrédient cancérigène se cacherait dans les Pringles ou tout autre chips.

Les Pringles sont considérés comme des chips de pomme de terre croustillantes ou plutôt des chips « au goût » de pomme de terre que l’on grignote à l’apéritif et qui sont proposées en plusieurs saveurs.
Or, selon les dires du site Healthy Life, leur fabrication serait inquiétante et elles contiendraient un produit chimique cancérigène.

Selon Healthy Life, ces chips de pomme de terre ont l’apparence de chips, le goût des chips à la pomme de terre mais n’en auraient que l’air !
Le plus terrible d’après Healthy Life est l’affirmation de l’entreprise Pringles qui a dit un jour que la « contenance en pommes de terre de leurs chips était tellement faible que techniquement on ne pouvait pas parler de chips de pommes de terre ».

Mais alors que contiennent les Pringles ?

« Le processus commence avec une bouillie de riz, de blé, de maïs et de flocons de pommes de terre qui sont pressés. La substance pâteuse obtenue est ensuite déployée sur une feuille ultra-mince et coupée », détaillait le site io9 en 2011.

Mais le plus dangereux et le plus grave, c’est que les Pringles contiendraient de l’acrylamide.
« L’acrylamide est un produit chimique cancérigène et même neurotoxique, qui résulte de la cuisson à de très hautes températures d’aliments riches en glucides et surtout lorsque ceux ci sont cuisinés frits, rôtis ou toastés.
Les plus dangereux résultent d’ailleurs des chips et des frites.
En fait, beaucoup d’aliments cuits à des températures supérieures à 100°C peuvent donc contenir de l’acrylamide.

Il faut savoir que le produit chimique se forme quand des aliments sont cuits à une température suffisante pour produire une surface plutôt sèche et de couleur jaune/marron », indique Healthy Life.

Pour avoir une idée sur la dangerosité de ce composant, le site Healthy Life donne la comparaison suivante : aux Etats-Unis, la limite légale d’acrylamide dans l’eau est d’environ 0,12 microgramme pour un verre d’eau de 20 centilitres.
Une portion de frites quant à elle contient 60 microgrammes d’acrylamide, soit 500 fois la limite autorisée.

Cependant, les chips cuisinées au four pourraient même être pires que les chips frites, selon les données de la Food and Drug Administration des Etats-Unis.

Mais ce n’est pas le seul composant à risque : en effet, un rapport européen publié en 2007 a déjà démontré que la cuisson à haute température produit environ 800 composants dont 52 potentiellement cancérigènes.

Docteur DENJEAN qui préfère définitivement les petits légumes crus plutôt que les chips…

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